Durant ses études, Anouk Defontenay s’est formée au choeur d’adultes de la Maîtrise de Notre-Dame de Paris dans la classe de Rosa Dominguez, puis dans la classe Mirella Freni du Pôle Lyrique d’Excellence Cécile de Boever sur l’année 2020/2021.
Elle est lauréate de la première édition du Tremplin organisé par le Fonds Tutti à l’Amphithéâtre de l’Opéra Bastille (avec Clémentine Margaine comme marraine) et à la Fondation Royaumont, où elle a été entendue dans le rôle de la 3e Dame de La Flûte enchantée de W.A. Mozart (E. Olivier, J.F. Sivadier).
Anouk travaille régulièrement avec l’ensemble Pygmalion (dir. Raphaël Pichon), Le Poème Harmonique (dir. V. Dumestre), la Compagnie la Tempête (dir. Simon-Pierre Bestion) et l’Ensemble Aïgal.
Elle a chanté les rôles de la Nymphe d’eau et de la Bergère héroïque dans l’opéra Armide de J.B. Lully, joué à l’Opéra de Dijon et à l’Opéra Royal de Versailles par le Poème Harmonique (dir. Vincent Dumestre, mise en scène de Dominique Pitoiset). On peut également l’entendre comme alto solo dans le Requiem de M. Duruflé à la Maitrise Notre-Dame de Paris (direction Henri Chalet), et comme Mère Jeanne de l’Enfant Jésus dans les Dialogues des Carmélites de F. Poulenc à l’Opéra de Massy (direction José-Miguel Perez-Sierra).
En 2024, Anouk a chanté la partie de soprano 2 dans les Vespres de Monteverdi avec Le Poème Harmonique au Festival de Cracovie, la partie d’alto solo dans la Passion selon saint Jean de J.S. Bach avec la Maîtrise N. D. de Paris à l’Opéra de Clermont-Ferrand et au Collège des Bernardins, et a fait ses débuts dans le rôle de l’Enfant dans l’Enfant et les sortilèges de M. Ravel au Festival Musica Nigella (dir. Takénori Némoto).